4 000€ à 5 000€ mensuel dans la niche de l’écologie

À l’origine, l’objectif de Léa n’était pas de devenir copywriter. Ce qu’elle voulait, c’était s’investir dans l’écologie à côté de ses études.

Et c’est ce qu’elle fait : début 2021 elle intègre une association et s’occupe de leur communication. Elle réalise des pages de vente, fait des lancements de produits et fait ses premiers pas en tant que copywriter de manière bénévole. 

6 mois après, l’expérience s’arrête. Mais Léa sait maintenant qu’elle veut vivre du copywriting, et sa niche sera l’écologie.

Elle a déjà des bases en copywriting, elle a déjà suivi Copywriting Mania. Mais si elle veut se lancer en tant que freelance, elle a surtout besoin d’apprendre :

1. à créer son offre

2. à trouver ses premiers clients

3. à se vendre

Elle intègre donc l’École des Copywriters en septembre 2021. 

La 1ère semaine de formation, elle crée une liste de 30 prospects potentiels et les démarche par mail. 

Résultat : dès le lendemain, un prospect réserve un appel avec elle. 2 semaines après, elle signe sa 1ère mission à 2500€ !

Super début ! Mais si on analyse le travail de Léa, on voit qu’elle a fait un gros travail en amont sur sa niche : elle savait exactement à qui elle s’adressait et le type d'offres qu’elle pouvait proposer à son client cible.

Et même s’il y a eu des imprévus lors de cette 1ère mission (notamment un malentendu qui a failli faire tout capoter), Léa a su réagir comme il fallait et aujourd’hui, ce client la recommande.

Conseil : faites comme Léa, chouchoutez vos clients, ils seront ravis de parler de vous à leur réseau ensuite.

Avec le recul, elle se dit qu’elle aurait pu facturer plus. C’est vrai qu’elle a passé plusieurs semaines sur cette 1ère mission. Mais maintenant, elle fait attention à mieux estimer le temps que lui prendra un projet.

Aujourd’hui, Léa signe la plupart de ses missions via LinkedIn. Grâce à sa stratégie de contenu sur la plateforme, ses prospects potentiels la repèrent et la contactent.

Un post par semaine lui suffit.

Certains mois sont moins chargés que d’autres (en décembre par exemple, Léa n’a pas signé de nouvelles missions). 

Mais le rythme de travail qu’elle a aujourd’hui lui permet d’avoir un chiffre d’affaires de 4000€ à 5000€ mensuel.

Cela correspond à 20h à 30h de travail par semaine, en parallèle de ses études. 

En juin 2022, une fois qu’elle aura terminé l’université, elle compte bien se lancer à plein temps dans le copywriting pour vivre en ligne à 100%. Ça tombe bien, elle a pas mal de projets de voyage en tête.


Sa 1ère mission à 1 500€ après 1 semaine de prospection

“Mon objectif était de pouvoir travailler de n'importe où. Si je travaille depuis mon ordinateur, je peux me dire : Allez, demain je prends un vol”

C’est ce qui motive Allan à se lancer dans le copywriting.

Avant d’intégrer l’École des Copywriters, il travaille en freelance avec une agence immobilière.

Mais fin 2021, l’activité connaît un creux et il se retrouve alors avec beaucoup de temps devant lui.

C’est le moment parfait pour rejoindre le programme.

Après 2 mois de formation, après avoir écrit sa 1ère page de vente à l’intérieur de l’École des Copywriters, il démarre sa prospection par mail début décembre.

Son système est simple :

1. Le samedi : il fait une liste de prospects potentiels

2. Le samedi après-midi : il sélectionne 1 ou 2 prospects et écrit la trame des conseils qu’il pourrait leur donner

3. Le lundi : il enregistre une courte vidéo de 5mn où il leur donne ces conseils

Il envoie ses premiers mails un lundi. Le mercredi ou jeudi suivant il reçoit un message :  “On a bien aimé ta vidéo, en plus on n’en reçoit pas souvent, les gens ne font pas cet effort. On aimerait bien discuter avec toi.”

Allan signe une mission pour 1500€ la même semaine.

“Le copywriter le plus souriant du web”
Pour Allan, montrer rapidement que vous êtes humain et sympathique augmente vos chances de signer une mission

Mettez-vous à la place de l’entrepreneur qui reçoit la vidéo d’Allan : vous voyez ce gars qui sort de nulle part qui prend la peine de s’intéresser à votre business et qui vous fait une vidéo avec des conseils personnalisés. Quelle serait votre réaction ?

Si vous avez un besoin en copywriting, vous vous dites que c’est probablement un freelance aussi motivé qu’il vous faut. Si vous ne recherchez aucun copywriter, vous avez malgré tout envie de discuter avec cette personne et voir ce qu’elle a à vous proposer.

Dans tous les cas, Allan est gagnant.

Sa technique fonctionne tellement bien, qu’il signe dès le départ avec l’un des entrepreneurs les plus influents dans la niche du fitness.

En réalité, peu importe votre expérience ou vos résultats, du moment que vous arrivez à montrer à votre client que vous pouvez l’aider, c’est suffisant pour qu’il vous fasse confiance.

Quelques semaines après, Allan utilise cette même technique pour signer avec un autre gros poisson de sa niche.

Cette fois-ci, il sait que son client a des besoins récurrents. Autrement dit, il a des chances de pouvoir bosser avec lui toute l’année (et donc s’assurer un revenu régulier).

Bilan pour Allan : 3 mois en tant que copywriter freelance, 3 missions déjà signées, 2 entrepreneurs avec qui il pourra probablement travailler sur le long terme.


Vivre du copywriting en 6 mois

À la sortie de son école de commerce, Valentin avait le choix entre un job salarié classique ou tenter sa chance en tant que copywriter freelance. Il choisit la 2ème option.

Il intègre l’École des Copywriters.

Il a déjà suivi Copywriting Mania donc en intégrant le programme, il veut surtout maîtriser toute la partie freelancing : prospection, networking, vente…

“J’essaie de me mettre à la prospection, mais je n’aime pas ça du tout. C’est un boulet que je traîne.“

Ok, mais alors comment trouver des clients si on ne prospecte pas ? Valentin décide de tout miser sur son réseau : il intègre un incubateur et a ainsi la possibilité de rencontrer pas mal d’entrepreneurs.

Il enchaîne les échanges et les évènements. Et au bout de 3 semaines, ça paye : il signe sa 1ère mission, facturée 1 000€.

Et là, il y a un déclic. Parce que c’est une chose d’être compétent en copywriting, c’en est une autre d’être payé pour s’occuper de la page d’un client. 

Grâce à cette mission, il peut maintenant se dire : “Un client m’a fait confiance, j’ai bossé sur un vrai projet, je peux gagner de l’argent avec le copywriting”. Il est plus confiant sur ses compétences et a donc plus de facilité ensuite à trouver une 2ème mission.

Quelques semaines après, Valentin signe donc une nouvelle mission, qu’il facture cette fois 1 500€.

C’est un très bon début de carrière, mais il y a un problème : la 1ère mission de Valentin était dans la tech et la seconde dans le bien-être.

C’était deux super missions, mais il se rend compte que sans un vrai positionnement, il est peu crédible. Il y a déjà des centaines de copywriters sur le marché.

Il prend bien deux mois avant de se décider : à partir de maintenant, il sera copywriter dans la niche de la tech et du web 3.0.

Ça lui paraît évident puisqu’il voit que la plupart des personnes qui sont dans ce domaine sont très techniques mais n’ont pas vraiment de notions en marketing.

En plus, il voit passer beaucoup de projets et plusieurs personnes semblent intéressées par ce qu’il a à proposer en copywriting.

Valentin s’affiche donc maintenant comme copywriter tech et web 3.0 sur LinkedIn. Et la différence est frappante !

Ses demandes de connexion LinkedIn ne donnaient pas grand chose avant. Maintenant, sur 10 personnes ajoutées, il y a en moyenne :

  • 8 qui l’acceptent
  • 5 qui répondent à son message
  • 2 à 3 avec qui il peut aller boire un café

Aujourd’hui, Valentin vit du copywriting. Ses premiers mois en tant que copywriter freelance lui ont rapporté 11 000€. 

Maintenant, l’objectif est d’augmenter ses tarifs. Ça fait sens : plus il réalise de missions, plus il gagne en crédibilité dans sa niche.


Sur sa 1ère mission, il fait x2 par rapport aux objectifs de vente de son client

Pour l’instant, Logan est toujours salarié.


Mais il voit bien que le salariat, ce n’est pas pour lui. C’est un univers où il évolue beaucoup trop lentement.


C’est pour ça qu’il s’intéresse au copywriting. Il veut davantage de maîtrise sur sa carrière. Son objectif est de monter en compétence pour être freelance copywriter à temps plein et quitter le salariat.


Avant de démarrer l’École des Copywriters, Logan avait déjà suivi Copywriting Mania Pro. Il a donc de bonnes bases techniques.


Mais en plus, Logan a trouvé son 1er client quelques jours avant le début du programme. L’École des Copywriters est donc pour lui l’occasion de perfectionner son copywriting et de profiter de l’accompagnement sur sa 1ère mission.


D’ailleurs, parlons de cette 1ère mission...


D’abord, pour l’obtenir, il n’a ni prospecté, ni créé du contenu sur LinkedIn.
Sa méthode : aller sur Facebook et aider gratuitement des business dans leur copywriting, notamment avec des analyses de leur message de vente.


Vous avez pas mal de groupes Facebook d’entrepreneurs. Il suffit d’en intégrer quelques-uns et d’être actif.

Alors oui, ça prend du temps. Mais ça paye ! Logan signe sa 1ère mission de cette manière et la facture 2000€.

La mission est classique : réécrire une page de vente et sa séquence email.

Après 3 mois de travail, ça y est, c’est le jour du lancement.

Au final, les résultats dépassent de loin les espérances du client : ils doublent quasiment les ventes.


Du coup, cette mission s’est tellement bien passée que le client a voulu continuer à bosser avec Logan.


Aujourd’hui, ils enchaînent les missions ensemble. Et c’est la situation parfaite pour Logan ! Il n’a qu’un client mais cela lui convient très bien : souvenez-vous, il est toujours salarié et n’a donc pas le temps de prendre d’autres missions.


En 2022, Logan arrêtera probablement son job pour être à 100% sur le copywriting.


6 mois après l’Ecole des Copywriters : 9400€ de chiffre d’affaires

La carrière de copywriter de Bastien a mal démarré : il ne signe aucune mission après 200 messages sur LinkedIn. Pourtant, 6 mois après, il est à 9400€ de CA.


Je vous montre dans un instant comment il a fait.


Si on remonte 1 an en arrière, Bastien savait à peine ce qu’était le copywriting.
Il a été ingénieur, il a eu pas mal d’autres activités comme le trading ou la gestion locative. Mais il avait besoin de quelque chose de différent, une activité qui pourrait lui permettre d’obtenir sa liberté financière et géographique.


Il découvre alors le copywriting un peu par hasard, grâce à une vidéo YouTube. Et quelques mois après, intègre l’École des Copywriters.


Au moment de chercher son 1er client, Bastien se concentre sur LinkedIn. Il envoie des messages tous les jours mais les résultats sont médiocres : aucune mission signée après plusieurs semaines de prospection.
Il change alors son approche.


Bastien passe à la prospection par mail. Mais pas le mail lambda que tout business reçoit à longueur de journée et qui est supprimé en 2 secondes. Non, Bastien préfère partager une vidéo personnalisée à chacun de ses prospects pour leur donner des conseils de copywriting.


C’est le jour et la nuit. Il envoie 11 mails, et en 2 semaines, signe son 1er client.


La mission : une page de vente et une séquence email facturées à 1850 €.


Cette 1ère mission se passe tellement bien que son client le recommande à un autre entrepreneur. Voici le retour du client sur la page de vente de Bastien :

“Je crois que c’est la 1ère fois que je lis une page de vente sans que je me dise : ‘quand est-ce qu’il va me vendre son truc’”.


Après ça, les missions s’enchaînent. En l’espace de quelques semaines, Bastien signe sa 2ème mission, puis la 3ème, puis la 4ème !


Ça se passe souvent comme ça : une fois que vous avez fait du bon boulot pour quelques clients, le bouche à oreille fonctionne, et ce sont les clients qui viennent à vous.


Elle facture sa 1ère mission à près de 4000 €

Agathe a un projet personnel pour lequel elle essaie de récolter de l’argent. Elle utilise un site de financement participatif : Ulule.


Le souci, c’est que ça ne marche pas.


Pourtant, elle a lâché un joli billet pour qu’une agence s’occupe du projet. Mais la page n’est tout simplement pas bonne, elle a un problème de copywriting.


C’est à ce moment-là qu’elle décide de mieux s’entourer et de chercher un bon copywriter. Mais c’est une galère : les copywriters qu’elle trouve ne sont souvent pas dispo. Du coup, elle se dit : “Ok, si c’est compliqué de trouver un copywriter, c’est que c’est une compétence recherchée”


Elle décide alors de se former elle-même au copywriting en intégrant l’École des Copywriters. L’objectif n’est pas de tout quitter pour le copywriting, mais de rajouter une corde à son arc. C’est une compétence qui l’attire alors pourquoi pas essayer de la développer et accepter ensuite des missions à côté de son job ?


Sauf qu’elle a du mal à prospecter au début : “Comment j’aborde des gens que je ne connais pas pour leur vendre un service que je n’ai pas rôdé ?”.


Encore ce syndrome de l’imposteur que tous les freelances rencontrent au début de leur carrière.


Mais lorsqu’Agathe commence à prospecter, ça fonctionne très vite.


En 1 semaine, elle signe sa 1ère mission. En plus, facturée à près de 4000€.


C’est assez inhabituel de facturer une 1ère mission à ce tarif, mais pas impossible si vous ciblez les bons prospects. Autrement dit, ceux qui ont du budget et à qui vous pouvez apporter beaucoup de valeur.


Même si Agathe n’a pas besoin de cet argent pour payer son loyer, elle est mère de famille : le temps qu’elle passe sur une mission, c’est du temps en moins avec ces enfants.


Du coup, la mission doit :

  • - être hyper intéressante
  • - valoir le coup financièrement


Est-ce que les tarifs d’Agathe freinent les clients ? Au contraire, elle est contactée par des prospects qui souhaitent bosser avec elle.


Sauf que son temps est limité. Elle cherche donc en ce moment un autre copywriter avec qui elle pourrait travailler et décharger du travail.


Agathe ne passera probablement jamais à 100% sur le copywriting. L’équilibre qu’elle a trouvé entre son job, ses missions et sa vie de famille lui convient très bien.


Elle passe de juriste à copywriter à temps plein

J’étais juriste. J’ai travaillé en association, puis j’ai travaillé pour des juridictions.


Mais je me suis rendu compte que le droit, la justice, pour des raisons personnelles c’était pas pour moi. je voulais vraiment tourner la page.


J’avais déjà lu quelques livres. J’avais suivi une petite formation généraliste.

Mais il manquait tout ce côté pratique qu’on retrouve dans l’École des Copywriters.


Pendant le programme, j’ai trouvé mes premiers clients en appliquant à la lettre les méthodes proposées par Stan. J’ai prospecté pour mes deux premiers clients. J’ai ciblé des entrepreneurs que je connaissais bien, dont je suivais le travail.


Aujourd’hui, je travaille toujours pour le 2ème client que j’ai trouvé en mai.


J’ai le retour d’une e-commerçante qui a accepté mon devis.


Ça se présente plutôt bien.


Je continue à prospecter.


J’espère trouver de plus en plus de clients et facturer plus cher.


Actuellement, je suis sur une mission en e-commerce, et une mission avec une agence qui me sous traite des missions. Je rédige du contenu, des emails pour ses propres clients.


Il apprend le copywriting, crée son agence et se retrouve avec trop de clients

J’ai commencé ma carrière dans l’administration belge. J’habite à Bruxelles.


Au bout de 15 ans, j’avais fait le tour de ce que la fonction publique pouvait m’offrir.


J’avais envie de revenir vers tout ce qui était entreprenariat. Je viens d’une famille d’entrepreneurs.


J’avais déjà un projet en développement qui aujourd’hui est concrétisé : ma compagne est dans le marketing, on a créé notre agence.


Au début, c’était un projet qu’on envisageait en parallèle avec la fonction publique. Mais comme le projet se développe de plus en plus, on s’est mis en pause carrière pour se consacrer pleinement au projet.


Dans l’École des Copywriters, c’est vraiment très bien parce qu’on a une méthode qui nous guide. C’est quelque chose de progressif. On le fait petit à petit et en 3 mois on avance déjà beaucoup sans s’en rendre compte. On a les blocs qui s’agencent les uns derrière les autres.


Quand on ressort de la formation, on a plus qu’à envoyer les mails et c’est parti.


Je prospecte et ça se passe très très bien, très très vite.


Au début, je me disais : “Je vais n’avoir aucune réponse, j’envoie des mails à des personnes que je ne connais pas”.


Mais j'ai très fortement personnalisé mes mails.


Mais j’ai eu un taux de réponse hallucinant. Je dois être à 85% de taux de réponse.


Je pense que dans les 2 premières semaines, j’ai eu mes 2 premiers clients. Et j’ai enchaîné 2 petites missions.


Mon 1er client avait besoin de contenus, de mails, d’une page de vente.


Je l’ai accompagné là-dessus pendant 3 mois.


Je travaillais environ 2 jours / semaine sur le projet ce qui me permettait de mener ma prospection et d’autres missions en parallèle.


Pour la page de vente + le rapport de recherche + la séquence de lancement j’ai facturé 2500€.


Au niveau du lancement, ça a été très positif.


On a eu 401 ventes. On a eu un taux de conversion très important.


On avait une liste email de 2250 inscrits.


Pour un premier résultat, c’est très encourageant.


On a donc prévu de collaborer ensemble sur les prochains lancements.


Aujourd’hui, j’ai beaucoup de missions.


Parce que j’ai beaucoup prospecté en juillet août.


Énormément de personnes étaient en vacances et m’ont dit : “On se recontacte en septembre”.


J’ai eu un mois d’août assez calme.


Par contre, début septembre, plein de gens ont commencé à me contacter. J’aurai probablement des clients en liste d’attente.


Concrètement, j’ai deux missions qui vont commencer prochainement.


Il y a encore 3 autres projets qui sont en négociation. Ce sont des projets qui vont durer 1 année, les négociations sont plus longues.


Je vis aujourd’hui du copywriting. C’est ma principale source de revenus.

1ère mission à 1600€ en moins d’un mois

Quand j'ai commencé la formation, j'étais en congé parental.


Et avant ça, je travaillais dans l'immobilier, j'étais gestionnaire de patrimoine dans l'immobilier.


Aujourd’hui, je suis copywriter à temps plein.


Quand j’intègre l’École des Copywriters, je sais ce qu'est le copywriting, mais je ne me suis jamais formée dessus.


J'ai trouvé que c'était super complet. J'ai choisi Stan parce que pour moi, dans la francophonie, c'est un des meilleurs. Et moi je veux travailler avec les meilleurs.


À la fin du programme, on était censé commencer à prospecter. Et je dois dire que j'ai tout fait pour ne pas le faire, je me disais que j’allais reculer l'échéance au maximum. Je dis pas que c'est ce qu'il faut faire, je dis vraiment comment, moi, j'ai vécu la chose.


J'ai commencé à poster sur Linkedin. Et la magie a opéré. Les gens sont venus vers moi. C'est d'ailleurs comme ça que j'ai décroché ma première mission.


Pour ma part, la création de contenu a porté ses fruits.


Ça fait trois mois que j'ai commencé à poster sur Linkedin. Et il m’a fallu moins d'un mois pour trouver ma 1ère cliente.


La cliente m'a dit qu'en termes de budget, c'était compliqué. Donc, c'est moi qui ai fait l'effort. Sachant que c'était ma première mission en plus, que j'ai besoin de preuves sociales, et je trouvais que 1200€, c'était quand même déjà très bien pour une première mission.


Donc je fais une page de vente à 1200€ et la séquence de bienvenue à 400€.


Aujourd'hui on a gardé contact. La mission est terminée, mais aujourd'hui elle m'a proposé de m'occuper de sa newsletter.


Après ça, j'ai fait deux autres pages de vente pour une même cliente.


Mais tout ça sans prospecter. Donc, encore une fois, je me trouve vraiment chanceuse à ce niveau-là.


En tout, j’ai pu signer 6 missions depuis la fin du programme.


Je suis actuellement à 2500€ de CA.

“On a facturé 18 615€ et aujourd’hui, on est en récurrent à 3000€ / mois”

On a pris deux mois pour se former et après, on a voulu prospecter et on s'est dit : faut faire de la quantité. Donc, on se forçait à faire du volume et à faire au moins un prospect par jour.


On s'est accordé des niches où on avait déjà des domaines d'expertise. Parce que j'ai l'impression que quand on parle le langage du prospect, c’est beaucoup plus simple.


C'était au moins 15 messages de prospection par semaine et on a dû prospecter pendant 1 mois, 1 mois et demi avant d'avoir une accroche avec notre premier client.


Pour le premier client, il y a un syndrome de l'imposteur, on a vraiment peur.


Le 1er jour du lancement, on fait 11 ventes.


Puis le 2ème jour, on fait 5 ou 6 ventes.


Troisième jour, on fait 7 ou 8 ventes et en fait, toute la semaine ça a bien marché et le week-end ça explose. Je crois que le dernier jour on a fait 37 ventes.


Donc ça faisait au total 122 ventes. Le client a fait x8 sur ses ventes.


Tout s’est plus que bien passé parce que nous on voulait faire x2 à la base.


Au total, on a pris 22% du chiffre d'affaires. On a donc facturé à notre client 18 615€, je crois.


Et aujourd'hui on travaille en récurrent avec lui.

On refait toute sa stratégie marketing, son site, etc. Et là, on est sur 3000 euros par mois.


On est en train de signer 2 autres clients, un photographe et encore un en “make money”.

Romaric - luroma.eu

10 000€ avec seulement 2 clients en facturant à la performance

Je suis ancien ingénieur R&D en conception mécatronique, copywriter depuis 2 ans et j’ai créé l'agence Brainux, une agence de copywriting à destination des DNVB (Digital Native Vertical Brand).


En septembre 2021, j'ai vu l'email dans lequel Stan disait qu'il y a une pénurie de copywriters et je me suis dit : “le mot est fort mais bon je vais tester”.


J'ai réussi à avoir quatre clients avant d’intégrer le programme.


J'ai signé mon premier client avec un système de paiement à la performance. En gros, je prenais un pourcentage sur son CA.


J'ai commencé à travailler avec des infopreneurs en tant que growth partenaire. Je deviens associé dans la création de la formation et donc j'obtiens une grosse commission.


En 2023, je suis resté freelance et ça me plaisait. En plus je n'avais pas beaucoup de clients, juste deux par mois. Avec un système de paiement à la performance, ça me permettait d'avoir des CA à 10k / 12k.


J'ai surtout bossé avec les infopreneurs dans la niche du marketing et de la confiance en soi.


Fin 2023, j'ai commencé à me dire qu’il faut que je passe en mode agence puisqu’il y a beaucoup de clients qui arrivent.


Actuellement on est deux dans l’agence, je suis en train de réfléchir à comment je peux recruter de nouvelles personnes.

Lamek - Linkedin

Il booste le chiffre d’affaires de son client de 3000€ et signe une mission récurrente

J'ai fait un master de statistique. J'étais pas du tout prédestiné à faire quelque chose dans l'écriture.


Je voulais créer quelque chose pour moi et le fait que j'avais pas vraiment d'idée en tête, pas vraiment d'expérience en entreprise, du coup apprendre la compétence du copywriting ça me semblait le plus cohérent pour mettre un pied dans le monde de l'entreprise et en même temps pouvoir bifurquer pour faire mon propre truc plus tard.


Sur le 1er mois de prospection, je n’ai pas envoyé beaucoup de mails en vrai, je pense 10 / 15 mails max.

Mais j'ai quand même réussi à avoir 2 / 3 appels.


Et puis, un peu par hasard, je tombe sur un entrepreneur, je vais sur ses réseaux, sur son site et je vois qu’il a vraiment beaucoup d'abonnés. En cumulé, plus de 700 000. Je me suis dit : “il va jamais me répondre”.


Je lui ai envoyé un message et il m'a répondu en 1 heure en me disant qu'il avait bien apprécié ce que j'avais écrit.


Comme je l’ai senti frileux dès le départ au niveau financier, j'avais préparé un petit peu le terrain pour proposer une offre pas hyper chère, une sorte d'offre d'appel. Et après s’il voit que je fais un bon travail, je proposerai quelque chose de plus gros.


C'était 500 € et 20 % sur le surplus du CA si on arrivait à atteindre un seuil au-dessus de son dernier chiffre d'affaires.


On a fait +3 000€ par rapport au seuil qu'on s'était fixé du coup au final c'était pas trop mal.


Après cette première mission, sans même que je lui demande la suite, il a commencé à dire : “bon en mars on va faire ça, en mai on va faire ça, etc…”


Moi j'ai rien demandé mais j'ai fait : “pas de soucis”


J'ai fait un autre devis pour les 3 prochains mois. Tant que ça marche, on va continuer à travailler ensemble. Là, je propose 1000€ en fixe et 30% sur le surplus donc voilà c'est plus intéressant cette fois-ci.

Ely - Linkedin

Copywriter à temps partiel : 10 000€ en 1 an avec seulement 2 clients

J'aime écrire depuis toujours et j'écrivais déjà beaucoup. J'écrivais des romans, des nouvelles. J'étais éditée dans de petites maisons d'édition.


Tout ça, c'était vraiment une passion mais ça restait une passion. C'est-à-dire que j'arrivais pas à en vivre parce que les petites maisons d'édition n’ont pas forcément beaucoup de moyens pour faire de la pub.


Donc à côté j'ai toujours eu un job alimentaire.


Au bout d'un moment j'avais envie d'essayer de lier ma passion et mon job. Je me suis donc intéressé au copywriting.


Au début, j'avais vraiment une vision assez négative de la vente et à un moment donné ça s'est débloqué. Je me suis dit que si je voulais devenir mon propre patron, j'avais besoin de cette compétence.


Avant même la fin de la formation, l’entrepreneur avec qui j’ai travaillé dans le cadre de l’École des Copywriters m'a proposé d'enchaîner avec une autre mission et c'est ça qui m'a mis le pied à l'étrier.


La première mission, c'était une page de vente et une séquence mail. Donc la page de vente j'ai facturé 1000 € et la séquence mail 500€.


Aujourd’hui, on en est à la 7ème mission avec cet entrepreneur.


J'ai franchi le premier cap de me rembourser la formation et ça psychologiquement c'était super pour moi.


Si j'additionne toutes mes missions, en chiffre d'affaires je suis environ à 10 000 € depuis un an.

Marie - MB Writing

J’ai facturé plus de 6000€ ma 1ère mission

Je suis copywriter professionnel, c'est-à-dire que j'en vis à 100%. J'ai rejoint l'École des Copywriters en octobre 2021, donc il y a 2 ans et demi.


Pour trouver mon 1er client, je me rappelle avoir envoyé quelques mails, entre 2 et 5 mails pour être exact.

Forcément, si j'en ai envoyé peu, c'est parce que j'ai fait les recherches en amont, j'ai essayé de comprendre là où je pouvais m'insérer dans leur business. Et sur ces 3-5 messages, j'ai eu 2 réponses.


Une de ces personnes a accepté mon devis. Donc, on était en décembre. J'avais quasiment pas encore fini la formation que je décrochais déjà un client.


Donc moi j'ai vu beaucoup de choses à améliorer sur son business et donc dans le devis j'avais mis refaire la page principale du site, des fiches produits. Il y avait aussi la construction d'une séquence de bienvenue, la rédaction des premières newsletters.


C'est un contrat qui s'est étalé sur 3 mois au final.


J’ai facturé un peu plus de 6.000 €. Donc la répartition c'était environ 2.000 € par mois pendant 3 mois.


Les toutes premières missions, j'étais plus aux alentours de 300 € / jour et après je suis rapidement passé à 400€.


Je peux te donner un exemple concret avec une startup que j'ai accompagnée. On avait mis plein d'actions sur lesquelles je devais bosser et on s'était mis d'accord sur 6 jours, donc typiquement ça faisait 2400€ par mois pour les accompagner.


Une page de vente c'est entre 1500€ et je crois la plus chère est à 2700€ / 3000€.

Jordan - Linkedin